Arguments juridique et religieux pour dépénaliser la rupture publique du jeûne
Inadapté pour un Maroc moderne et engagé dans la défense des droits humains, l’article 222, incriminant la rupture publique du jeûne pour les personnes “notoirement connues pour leur appartenance à la religion musulmane”, doit être supprimé. C’est la position que prônent les militants des droits humains ainsi que des hommes de foi, que Médias24 partage. Voici ces arguments. lire la suite