La journaliste, qui couvrait la crise migratoire à Sebta, a été arrêté par des membres de la Guardia civil, qui étaient armés selon des confrères de Chouf TV et d'autres médias locaux.

D'après la presse locale, Fatima Zahra Rajmi a été arrêté pour usage de l'expression "Sebta, la ville occupée", ce qui aurait irrité les policiers espagnols.

Cet acte a été fermement dénoncé par l'Association nationale des médias et des éditeurs ANME, qui a appelé à sa libération, à travers un communiqué publié le même jour.

Après avoir passé environ 10 heures chez la police espagnole, elle a été relâché dans la soirée du vendredi 21 mai.