La société indique que les tensions sur la trésorerie de 2019 ont négativement impacté les réalisations de l’exercice et que la reprise d’activité attendue au 2e semestre ne s’est pas concrétisée.

Ainsi, le chiffre d’affaires est attendu en baisse et le résultat net en perte. 

Elle revient sur les éléments qui ont impacté cet exercice. 

DLM rappelle qu’à la suite des tensions sur la trésorerie, elle a demandé et obtenu, jeudi 19 décembre, l’ouverture d’une procédure de sauvegarde, telle que prévue par le livre 5 du code de commerce, auprès du tribunal de Commerce de Casablanca.

Elle indique aussi que les négociations sur un contrat important, objet de la seconde réserve formulée par les commissaires aux comptes en 2018 n’étant toujours pas conclues, des provisions relatives à ce contrat seront passées sur l’exercice 2019.

Graph Delattre Lev. P

Elle informe également qu’elle a procédé au 2e semestre 2019 à la cession des titres détenus dans les sociétés DLM EnR, EMPI Maroc et Top management Maroc, afin de recentrer l’activité sur les métiers de base du groupe. Ces cessions impacteront le chiffre d’affaires consolidé du groupe, souligne DLM. 

Face à cette situation, DLM indique que des provisions pour restructuration seront également proposées au conseil d’administration pour renforcer la performance opérationnelle. Aussi, la restructuration financière nécessaire à l’apurement du passif dans le cadre du plan de sauvegarde permettra également d’améliorer la performance du groupe.

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