Le gouverneur de Mdiq-Fnideq a demandé aux élus locaux de rejeter l’accord Véolia-Actis (fac-similé de la lettre)
Un courrier en date du 11 juin envoyé des services de la province de Mdiq-Fnideq demande aux élus de 5 communes de tenir une session extraordinaire et de «refuser le transfert des parts du groupe Véolia dans la société Amendis au groupe Actis». Le document a été adressé aux élus des communes de Mdiq, de Fnideq, de Martil, d’Al Alalyienes et de Benyounech. L’autre point mis à l’ordre du jour de la missive est de s’accorder sur «la rupture du contrat de gestion déléguée selon la procédure de «rachat» conformément à l’article 72 du contrat de gestion déléguée». Jusqu’à présent, les principales communes du pays concernées par le départ de Véolia, Rabat, Salé, Tanger et Tétouan ont voté contre le transfert des parts de Véolia à Actis au sein d’Amendis (Tanger-Tétouan) et de la Rédal (Rabat-Salé). La concomitance de ces décisions et leur similitude ont fait penser à une décision de l'autorité de tutelle. A Tanger, l’opposition du PJD demande la rupture du contrat selon les clauses des articles 62 et 63 qui permettent de pénaliser Véolia pour ses manquements au contrat de gestion déléguée. Médias 24 a indiqué dans un article publié mardi 17 juin, que malgré ces votes de rupture et de rachat, des négociations se poursuivent entre l’Intérieur marocain et le fonds d’investissement britannique Actis.
Le gouverneur de Mdiq-Fnideq a demandé aux élus locaux de rejeter l’accord Véolia-Actis (fac-similé de la lettre)
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J.A.
Le 20 juin 2014 à 11h07
Modifié 20 juin 2014 à 11h07Un courrier en date du 11 juin envoyé des services de la province de Mdiq-Fnideq demande aux élus de 5 communes de tenir une session extraordinaire et de «refuser le transfert des parts du groupe Véolia dans la société Amendis au groupe Actis». Le document a été adressé aux élus des communes de Mdiq, de Fnideq, de Martil, d’Al Alalyienes et de Benyounech. L’autre point mis à l’ordre du jour de la missive est de s’accorder sur «la rupture du contrat de gestion déléguée selon la procédure de «rachat» conformément à l’article 72 du contrat de gestion déléguée». Jusqu’à présent, les principales communes du pays concernées par le départ de Véolia, Rabat, Salé, Tanger et Tétouan ont voté contre le transfert des parts de Véolia à Actis au sein d’Amendis (Tanger-Tétouan) et de la Rédal (Rabat-Salé). La concomitance de ces décisions et leur similitude ont fait penser à une décision de l'autorité de tutelle. A Tanger, l’opposition du PJD demande la rupture du contrat selon les clauses des articles 62 et 63 qui permettent de pénaliser Véolia pour ses manquements au contrat de gestion déléguée. Médias 24 a indiqué dans un article publié mardi 17 juin, que malgré ces votes de rupture et de rachat, des négociations se poursuivent entre l’Intérieur marocain et le fonds d’investissement britannique Actis.