Jusqu'à six mois d'emprisonnement et 500 DH d'amende pour la rupture "ostensible" du jeûne dans un "lieu public", par toute personne "notoirement connue pour son appartenance à la religion musulmane". C'est ce que prévoit l'article 222 du Code pénal marocain, que beaucoup appellent à abroger.
Jusqu'à six mois d'emprisonnement et 500 DH d'amende pour la rupture "ostensible" du jeûne dans un "lieu public", par toute personne "notoirement connue pour son appartenance à la religion musulmane". C'est ce que prévoit l'article 222 du Code pénal marocain, que beaucoup appellent à abroger.
“Celui qui, notoirement connu pour son appartenance à la religion musulmane, rompt ostensiblement le jeûne dans un lieu public pendant le temps du ramadan, sans motif admis par cette religion, est puni de l’emprisonnement d’un à six mois et d’une amende de 200 à 500 dirhams.” C’est ce que prévoit...
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