“Maan”, un nouveau mouvement politique porté par des jeunes
Zakaria Garti, Azzedine Asoualha et d'autres jeunes lancent le mouvement politique "Maan, koulchi moumkine" (Ensemble, tout est possible). La création d’un parti "n’est pas d’actualité".

“Maan”, un nouveau mouvement politique porté par des jeunes
Zakaria Garti, Azzedine Asoualha et d'autres jeunes lancent le mouvement politique "Maan, koulchi moumkine" (Ensemble, tout est possible). La création d’un parti "n’est pas d’actualité".
Ce nouveau mouvement politique issu de la société civile présenter, jeudi 21 mars, son objectif, ses idées, sa gouvernance et ses premiers projets, dont "Istima’a", un projet dans le domaine de l’éducation.
L’idée de créer ce mouvement émane "de jeunes Marocains aux parcours professionnels et associatifs divers et variés mais animés par un désir commun de démocratie et de pleine citoyenneté. Conscients de l’immensité de la tâche, le mot d’ordre de leur première rencontre en mars 2017 à Casablanca était: Maan, koulchi moumkine", racontent les fondateurs dans un communiqué.
Joint par Médias24, Zakaria Garti, un de ces fondateurs, affirme qu’il ne s’agit pas d’un parti politique et que "la création d’un parti n’est pas d’actualité".
Outre cet ancien président de Tariq Ibnou Ziad Initiative (TIZI), le mouvement compte dans son bureau: Azzedine Asoualha, Salaheddine Nabirha, Yassine Alia, Sara Sbai, Hamza Hraoui, Idir Ouguindi, Safwane Mouafaq, Oussama Choubai, Mehdi Megzari et Salim Hassar.
Sur son site web et ses comptes sur les réseaux sociaux, le mouvement montre qu’il s’intéresse aux problématiques de l’éducation, de la santé, du chômage… Il met en avant les difficultés que rencontrent enfants, jeunes et femmes et la possibilité d’y remédier "si chacun de nous y met du sien, en créant une nouvelle dynamique, pour que notre société devienne une source d’espoir, qu’elle donne à chaque citoyen la possibilité de profiter de ses droits et de garder sa dignité".