Investissements directs étrangers: le Maroc a drainé 32 milliards de DH en 2012
En drainant des investissements directs étrangers (IDE), le Maroc se dote d'atouts importants pour s'ériger dans l'économie du savoir, à travers le transfert technologique, la recherche et développement et l'innovation, a noté le ministre de l'Industrie, du commerce et des nouvelles technologies, Abdelkader Amara.
Investissements directs étrangers: le Maroc a drainé 32 milliards de DH en 2012
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MAP
Le 4 juillet 2013 à 10h32
Modifié 4 juillet 2013 à 10h32En drainant des investissements directs étrangers (IDE), le Maroc se dote d'atouts importants pour s'ériger dans l'économie du savoir, à travers le transfert technologique, la recherche et développement et l'innovation, a noté le ministre de l'Industrie, du commerce et des nouvelles technologies, Abdelkader Amara.
En 2012, le Maroc a pu drainer 32 milliards de DH d'IDE, dont 26% a été capté par l'industrie, a relevé le ministre dans un entretien accordé à la MAP, expliquant que l'économie marocaine est en train de s'orienter vers une économie de haute valeur ajoutée, au lieu de l'export des produits bruts.
Dans les années à venir, le Maroc peut être le premier pays en Afrique à capter les IDE et à les mettre au profit de l'économie nationale et l'entreprise marocaine, à travers une dynamique industriel, a avancé le ministre.
Le Maroc ne fait pas l'exception en matière de drainage des IDE, a estimé M. Amara, précisant que les pays développés comme les pays en voie de développement accordent une priorité importante à cette question.
Le choix du drainage d'un maximum d'IDE est justifié par le besoin de capital étranger, vu les gisements de croissance, et le besoin de transfert de technologies.
Le gouvernement est en train de «vendre» la plateforme marocaine en tant que plateforme de production et d'exportation à l'international, a-t-il ajouté.
Le ministre ne nie pas que le Maroc, étant un des pays les plus économiquement ouvert de la région, est en train de subir le fardeau de la compétition à l'international, mais il estime que le capital national marocain a fait énormément d'efforts pour se mettre à niveau, se moderniser, prospecter d'autres marchés et se mettre aux standards de qualité internationale.