Rupture publique du jeûne : rappel de ce que dit le Code pénal
Jusqu'à six mois d'emprisonnement et 500 DH d'amende pour la rupture "ostensible" du jeûne dans un "lieu public", par toute personne "notoirement connue pour son appartenance à la religion musulmane". C'est ce que prévoit l'article 222 du Code pénal marocain, que beaucoup appellent à abroger.
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Sara Ibriz
Le 28 avril 2022 à 15h59
Modifié 28 avril 2022 à 16h16Jusqu'à six mois d'emprisonnement et 500 DH d'amende pour la rupture "ostensible" du jeûne dans un "lieu public", par toute personne "notoirement connue pour son appartenance à la religion musulmane". C'est ce que prévoit l'article 222 du Code pénal marocain, que beaucoup appellent à abroger.
“Celui qui, notoirement connu pour son appartenance à la religion musulmane, rompt ostensiblement le jeûne dans un lieu public pendant le temps du ramadan, sans motif admis par cette religion, est puni de l’emprisonnement d’un à six mois et d’une amende de 200 à 500 dirhams.” C’est ce que prévoit...
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