Les réseaux sociaux s'unissent contre le terrorisme
Facebook, Twitter, YouTube (filiale de Google/Alphabet) et Microsoft ont annoncé lundi 5 décembre la création d'une base de données commune rassemblant les "empreintes digitales numériques" de certaines images ayant été retirées de leurs plateformes.
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Le 7 décembre 2016 à 9h15
Modifié le 11 avril 2021 à 2h39Facebook, Twitter, YouTube (filiale de Google/Alphabet) et Microsoft ont annoncé lundi 5 décembre la création d'une base de données commune rassemblant les "empreintes digitales numériques" de certaines images ayant été retirées de leurs plateformes.
Depuis longtemps sous pression pour endiguer la diffusion de la propagande terroriste sur Internet, les grands réseaux sociaux américains ont décidé de joindre leurs forces pour lutter contre les contenus à caractère "terroriste" sur leurs plateformes.
Ils espèrent ainsi identifier plus rapidement et empêcher la prolifération des photos et vidéos montrant des exécutions, des décapitations et autres contenus similaires, diffusés par des groupes comme Da'ech ou Al-Qaïda.
"Il n'y a pas de place pour les contenus qui font la promotion du terrorisme sur nos services grand public", affirme un communiqué commun des entreprises.
Les réseaux sociaux se débattent depuis plusieurs années avec le problème, cherchant à concilier la liberté d'expression et le refus des discours haineux ou violents.
Mais les terroristes utilisent de plus en plus leurs plateformes pour recruter ou préparer et montrer des attaques et les groupes Internet sont donc obligés de prendre une position plus ferme.
"Il ne peuvent plus échapper à leurs responsabilités", estime James Lewis, un spécialiste des questions technologiques et de sécurité au Center for strategic and international studies.
Il relève que les réseaux sociaux ne peuvent plus se contenter d'être des "plateformes neutres", rappelant également les critiques sur la manière dont ils ont laissé se répandre des fausses informations durant la campagne présidentielle américaine.
"Les contenus terroristes ne sont que le début", prévient-il. "Maintenant ils doivent déterminer ce qu'ils doivent faire pour les discours haineux, le racisme et le harcèlement".
(Avec AFP)
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