Stage ou vice-présidence? L’épineux dilemme de Malik Sefrioui
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H.O.M.
Le 24 juillet 2014 à 14h27
Modifié 24 juillet 2014 à 14h27Au cours d’un ftour d’entreprise organisé mercredi soir dans l’un des luxueux salons du Hyatt Regency de Casablanca, par le groupe CIMAT - présidé par Anas Sefrioui à la tête du géant marocain Addoha - une surprise de taille attendait les salariés de la firme. Et non, il ne s’agissait pas du copieux buffet proposé!
Peu avant de disposer de ce dernier et d’annoncer la -tant attendue- rupture du jeûne, le Directeur Général des Ciments de l’Atlas, Rachid Iben Khiyat, introduit un jeune homme - Malik Sefrioui, nul autre que le fils du puissant Anas -, avant de lui céder le micro.
Du haut de ses 23 ans, Malik affirme tout naturellement, selon un témoin présent sur place, qu’il était désormais fraîchement diplômé du «Boston College» et qu’il avait par ailleurs décidé de rentrer définitivement au Maroc. Il précise également dans le même élan qu’il a été confronté à deux options: poursuivre des stages complétant son cursus ou «rentrer et être sur le terrain», une alternative vivement encouragée, selon ses dires, par Messieurs Iben Khiyat et Naciri, le Directeur Général Adjoint, avant d’être en définitive adoptée.
Et pour cause, «être sur le terrain» signifie dans ce cas précis endosser la vice-présidence de CIMAT. Un poste convoité que le jeune Malik assumera, selon Rachid Iben Khiyat, dès octobre prochain au sein de CIMAF, branche africaine des Ciments de l’Atlas…
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