“Aucune entreprise n’a été écartée”, assure le ministère de l’Intérieur dans le rapport sur le budget sectoriel du ministère de l’Intérieur pour l’année 2023, présenté à la Commission de l'intérieur, des collectivités territoriales, de l'habitat et de la politique de la ville.

Ces autorisations ont été accordées par l’Agence nationale de réglementation des activités relatives au cannabis (ANRAC) dans le cadre de la mise en application des dispositions de la loi n°13-21 relative aux usages licites du cannabis. “Suite à la délivrance de ces autorisations, l’Agence entamera le processus d’autorisation des agriculteurs installés dans le périmètre réglementaire (provinces d’Al Hoceima, Chefchaouen et Taounate)”, indique l’Agence dans un communiqué.

“Ce processus permettra aux agriculteurs d’exercer l’activité de culture et de production du cannabis dans le cadre de coopératives agricoles. Les agriculteurs seront autorisés de façon progressive sur la base des besoins exprimés par les industriels autorisés”, ajoute la même source.