Avocats “offensés" par des séries télévisées : La HACA défend la "liberté artistique”
Pour la Haute autorité de communication audiovisuelle, "exiger, dès lors qu’il est question de telle ou telle profession, que les fictions ne représentent que des personnages positifs, honnêtes et intègres, reviendrait à porter atteinte à la liberté des auteurs et des opérateurs."
Avocats “offensés" par des séries télévisées : La HACA défend la "liberté artistique”
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Rédaction Medias24
Le 2 mai 2021 à 10h46
Modifié 3 mai 2021 à 11h04Pour la Haute autorité de communication audiovisuelle, "exiger, dès lors qu’il est question de telle ou telle profession, que les fictions ne représentent que des personnages positifs, honnêtes et intègres, reviendrait à porter atteinte à la liberté des auteurs et des opérateurs."
« La représentation critique d’une profession concernée dans une œuvre audiovisuelle de fiction ne constitue pas une diffamation telle qu’elle est légalement définie, ni ne comprend nécessairement une intention d’offenser ou de nuire ». C’est la réponse de la HACA aux corporations l’ayant saisie sur des séries-fictions jugées attentatoires...
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