Une soixantaine d’œuvres seront mises aux enchères par la Marocaine des arts
Pour sa première vente de la saison 2016/2017, la Marocaine des arts, portée par Fihr Kettani et Mohamed Chaoui, mettra aux enchères une soixantaine d’œuvres. Objectif affiché: mettre en exergue toutes les facettes de l’art marocain et international.
Une soixantaine d’œuvres seront mises aux enchères par la Marocaine des arts
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admin
Le 3 novembre 2016 à 9h30
Modifié 11 avril 2021 à 2h38Pour sa première vente de la saison 2016/2017, la Marocaine des arts, portée par Fihr Kettani et Mohamed Chaoui, mettra aux enchères une soixantaine d’œuvres. Objectif affiché: mettre en exergue toutes les facettes de l’art marocain et international.
C’est à Casablanca, le 27 novembre à 17h30, que se tiendra au Studio des arts vivants, la vente de 60 œuvres marocaines et internationales. Arnaud Cornette de Saint Cyr, reconnu sur le marché de l’art international, sera cette année encore le commissaire priseur.
"Habituée des records internationaux, comme la toile de Gharbaoui adjugée à plus de 3 millions de DH ou encore le papier du même artiste vendu à plus de 1,1 million de DH lors d’une vente en partenariat avec la maison Cornette de Saint Cyr, l’année dernière à Paris, la Marocaine des arts revient cette année avec une vente généraliste, mêlant plusieurs têtes d’affiche", peut-on lire dans un communiqué de la galerie sise à Casablanca.
"La Marocaine des arts rend hommage, dans cette vente aux enchères exceptionnelle, à tous les acteurs qui ont fait de l'art au Maroc une palette authentique, unie dans sa diversité", poursuit la même source.
Peinture moderne marocaine, orientalisme international ou encore abstraction lyrique, les très grands formats proposés lors de cette vente charmeront connaisseurs et collectionneurs, promet la maison de vente aux enchères.
Une œuvre de l'artiste Fouad Bellamine côtoiera celle de Mohamed Mellehi ou encore de Mohamed Chebaa.
Les collectionneurs retrouveront également le fameux lion de Farid Belkahia, qui était le seul Marocain à exposer lors de la Biennale des Lions en 2004 en France, au milieu de grandes pointures du domaine.
Aussi, est mise à la vente une toile de Jilali Gharbaoui : une œuvre de la même qualité et de la même période que celle qui a obtenu un record l’année dernière à Paris, estimée entre 1,2 et 1,5 million de DH.
Côté international, un format de Georges Mathieu, une peinture "pleine de poésie" de Dia Al-Azzaoui ou encore un hommage sans pareil au royaume, par les orientalistes les plus reconnus de leur temps, tels que Jacques Majorelle Pontoy ou encore Edy Legrand.
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