En voici le texte :

Lettre ouverte à M. Garnier du Blend Paris

Dans médias 24, M. Belghazi fait dire à M. Garnier que nous avons « pompé le concept de Blend Paris ».

Cette polémique grotesque nous a d’abord fait rire. « Mais ça va pas NON ! Bientôt ils vont nous reprocher d’utiliser des fourchettes… ». Puis nous avons été indignés par le mépris manifeste envers notre travail. OUI, Blend est notre concept et l’accusation que nous avons copié leur logo est grotesque !

NON ! le Cheesy n’est pas une exclusivité de Blend Paris, c’est un nom commun utilisé partout dans le monde (et même chez Burger King !)

OUI, nous allons continuer à servir nos frites dans des paniers métalliques, et OUI nous allons continuer à innover, à Blender les goûts du monde entier pour vous offrir le meilleur ! et même à ouvrir maintenant le Dimanche soir.

Ould lblend, venez vérifier par vous-même signé le méchant bœuf noir sur blanc.

Petite précision de Médias 24.

Dans l’article publié par notre portail, Amine Belghazi ne «fait pas dire à M. Garnier», ainsi que l’insinue Blend (Casa). Il rapporte fidèlement une partie du contenu d’échanges mail et téléphoniques avec M. Garnier, ce dernier en ayant pris l’initiative.

A l’issue d’une rencontre avec Amine Tazi et Nasser Benjelloun, les deux fondateurs de l’enseigne Blend à Casablanca, nous avons publié notre second article, sans nous prononcer, à aucun moment, sur la véracité de l’accusation de plagiat. Cela aurait été empiéter sur un domaine qui ne relève que de la seule compétence du Juge.

Nous rapportons également, à toutes fins utiles, un petit incident : une personne se présentant comme le conseiller en communication de Amine et Nasser a effectué des tentatives d’intimidation à l’encontre de Médias 24. Tout en sachant que son comportement n’engage pas obligatoirement les deux fondateurs du Blend Casablanca puisque rien ne prouve qu’il s’agit réellement d’une personne autorisée à parler en leur nom, nous tenons à réaffirmer que nous avons fait notre travail dans le respect des règles professionnelles et que les éventuelles tentations d’intimidation ne nous effraient pas.

Pour nous, l’affaire est classée. Nous continuerons à informer dans la neutralité.