Loi anti-fake news : Pluie de critiques et attaques frontales contre l'Exécutif
"La loi muselière" suscite le refus de l'opinion publique et d'une partie de la classe politique. On évoque une "fuite provoquée" par des parties gouvernementales et un règlement de comptes au sein de l'exécutif. Le texte propose d'incriminer l'appel au boycott, mais aussi l'usurpation d'identité numérique et le chantage via les réseaux sociaux.
Loi anti-fake news : Pluie de critiques et attaques frontales contre l'Exécutif
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A.E.H
Le 29 avril 2020 à 21h07
Modifié 11 avril 2021 à 2h45"La loi muselière" suscite le refus de l'opinion publique et d'une partie de la classe politique. On évoque une "fuite provoquée" par des parties gouvernementales et un règlement de comptes au sein de l'exécutif. Le texte propose d'incriminer l'appel au boycott, mais aussi l'usurpation d'identité numérique et le chantage via les réseaux sociaux.
Déferlante de critiques après la révélation d’extraits du projet de loi n° 22.00 encadrant l’usage des réseaux sociaux et réseaux assimilés. Un texte connu désormais sous le nom de « loi muselière », appellation retenue par les internautes qui fustigent son contenu « liberticide ».
Sur Avaaz, une pétition a été lancée sous...
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