Procès Hirak: où il faut bien choisir ses mots sur Facebook
L'usage du terme "force répressive" dans une publication Facebook est passible de poursuites pour outrage à corps constitué.
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Procès Hirak: où il faut bien choisir ses mots sur Facebook
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A. E. H.
Le 20 février 2018 à 23h43
Modifié 20 février 2018 à 23h43L'usage du terme "force répressive" dans une publication Facebook est passible de poursuites pour outrage à corps constitué.
Insinuer que la police est répressive, c'est "lui porter outrage". "L'outrage à corps constitué", y compris sur Facebook, est un délit qui peut mener à la Cour d'appel de Casablanca, à la salle 7, dans le box vitré, aux côtés des 54 membres du Hirak poursuivis suite aux événements...
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