L'ex-Barcelo de Saidia cherche gestionnaire désespérément
A peine confié à Atlas Hospitality, après le retrait de l’Espagnol Barcelo, le voilà à nouveau sans gestionnaire. L’hôtel Oriental bay beach, propriété de H-Partners, filiale de la SNI, est fermé depuis octobre dernier, sans qu’aucun nouveau gestionnaire ne se manifeste. C’est que l’établissement peine à décoller dans cette station où le taux de remplissage – en haute saison - dépasse rarement les 50 % et où l’activité est en berne en dehors de l’été. En février 2012, Oriental bay beach, alors géré par Barcelo, était au bord de l'asphyxie lorsqu’Atlas Hospitality a repris le flambeau pour «repositionner l’hôtel sur les marchés et l’intégrer dans son environnement balnéaire et golfique». C’était peine perdue, car l’asphyxie n’a fait que s’accentuer, obligeant le nouveau gestionnaire à jeter l’éponge à son tour. «En réalité, Atlas Hospitality a repris le flambeau pour ne pas laisser l’établissement fermé, mais seulement pour une seule saison le temps que H-Partners trouve un autre gestionnaire», nous explique une source proche du dossier. Qu’adviendra-t-il alors d’Oriental bay beach ? «Nous sommes en train de chercher un gestionnaire. Le problème sera bientôt réglé», nous promet Lahcen Haddad. Qui osera se jeter à l'eau?
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admin
Le 10 juin 2014 à 13h26
Modifié 10 juin 2014 à 13h26A peine confié à Atlas Hospitality, après le retrait de l’Espagnol Barcelo, le voilà à nouveau sans gestionnaire. L’hôtel Oriental bay beach, propriété de H-Partners, filiale de la SNI, est fermé depuis octobre dernier, sans qu’aucun nouveau gestionnaire ne se manifeste. C’est que l’établissement peine à décoller dans cette station où le taux de remplissage – en haute saison - dépasse rarement les 50 % et où l’activité est en berne en dehors de l’été. En février 2012, Oriental bay beach, alors géré par Barcelo, était au bord de l'asphyxie lorsqu’Atlas Hospitality a repris le flambeau pour «repositionner l’hôtel sur les marchés et l’intégrer dans son environnement balnéaire et golfique». C’était peine perdue, car l’asphyxie n’a fait que s’accentuer, obligeant le nouveau gestionnaire à jeter l’éponge à son tour. «En réalité, Atlas Hospitality a repris le flambeau pour ne pas laisser l’établissement fermé, mais seulement pour une seule saison le temps que H-Partners trouve un autre gestionnaire», nous explique une source proche du dossier. Qu’adviendra-t-il alors d’Oriental bay beach ? «Nous sommes en train de chercher un gestionnaire. Le problème sera bientôt réglé», nous promet Lahcen Haddad. Qui osera se jeter à l'eau?