"Cette étape initiale concerne l’exploration du segment nord du projet, englobant le Maroc, la Mauritanie et le Sénégal", explique OMCo sur sa page LinkedIn.

L’investigation topographique consistera à "collecter des données détaillées sur la topographie, les obstacles potentiels et les contraintes techniques le long du tracé finalisé du gazoduc", poursuit la même source. Elle permettra "une planification efficace des activités de construction".

L’ONHYM avait préalablement mené une réunion de lancement fructueuse et établi les alignements techniques nécessaires avec la Nigerian National Petroleum Company Limited (NNPC) et le groupement Fondasol-Etafat.

Le gazoduc africain Atlantique Nigéria-Maroc longera la côte ouest-africaine depuis le Nigeria, en passant par le Bénin, le Togo, le Ghana, la Côte d’Ivoire, le Liberia, la Sierra Leone, la Guinée, la Guinée Bissau, la Gambie, le Sénégal et la Mauritanie jusqu’au Maroc. Il sera connecté au Gazoduc Maghreb-Europe et au réseau gazier européen.

Cette infrastructure permettra aussi d’alimenter les Etats enclavés du Niger, du Burkina Faso et du Mali.