Une croissance estimée à +3,7% en 2024 (Lekjaa)
Sur la base des hypothèses retenues, l'économie nationale devrait enregistrer une croissance de 3,7% en 2024, contre un taux de +3,4% prévu en 2023.

Une croissance estimée à +3,7% en 2024 (Lekjaa)
Partager :
-
Pour ajouter l'article à vos favorisS'inscrire gratuitement
identifiez-vousVous possédez déjà un compte ?
Se connecterL'article a été ajouté à vos favoris -
Pour accéder à vos favorisS'inscrire gratuitement
identifiez-vousVous possédez déjà un compte ?
Se connecter -
Offrir cet article à un proche
Cette fonctionnalité est uniquement disponible pour les abonnés de Médias24. Ils peuvent offrir un article par semaine à des non-abonnés.Vous possédez déjà un abonnement ?
Se connecter
Rédaction Medias24
Le 14 juillet 2023 à 13h00
Modifié 14 juillet 2023 à 16h24Sur la base des hypothèses retenues, l'économie nationale devrait enregistrer une croissance de 3,7% en 2024, contre un taux de +3,4% prévu en 2023.
C'est ce qu'a relevé le ministre délégué auprès de la ministre de l'Economie et des finances, chargé du Budget, Fouzi Lekjaa, lors de la présentation, ce vendredi 14 juillet, du cadre général du projet de loi de finances au titre de l'année 2024, devant les commissions des finances des deux chambres du Parlement.
Fouzi Lekjaa a précisé que ces prévisions "pourraient être révisées à la baisse en cas de poursuite de la dégradation des perspectives économiques mondiales, en raison notamment des répercussions du conflit Russie-Ukraine et son impact sur les cours des matières premières et des chaînes mondiales de production et d'approvisionnement, en plus du durcissement des conditions monétaires".
Dans le détail, le ministre délégué a précisé que selon les prévisions de la programmation budgétaire triennale 2024-2026, le produit intérieur brut (PIB) devrait afficher une croissance de 3,7% en 2024, 3,6% en 2025 et 4% en 2026.
S'agissant de la valeur ajoutée (VA) agricole, elle progresserait de 5,9% en 2024, de 4,1% en 2025 et de 4,8% en 2026, alors que le rythme de croissance de la VA non agricole s'établirait à 3,4% en 2024, à 3,6% en 2025 et à 3,9% en 2026.
Ces hypothèses se basent aussi sur un taux d'inflation limité à 3,4% en 2024 et à 2% en 2025 et 2026.
Le déficit budgétaire devrait, lui, diminuer à 4% en 2024, à 3,5% en 2025 et à 3% en 2026, et ce, selon la programmation budgétaire triennale (PBT) de cette période, a ajouté le ministre délégué.
Il a souligné que la maîtrise du niveau du déficit, conformément à la trajectoire ciblée dans le cadre de la PBT pour préserver la soutenabilité de la dette, "nécessite la poursuite des réformes et la mise en place de mesures visant à mobiliser des marges supplémentaires aussi bien au niveau des recettes que des dépenses".
Vous avez un projet immobilier en vue ? Yakeey & Médias24 vous aident à le concrétiser!Si vous voulez que l'information se rapproche de vous
Suivez la chaîne Médias24 sur WhatsAppPartager :
-
Offrir cet article à un proche
Cette fonctionnalité est uniquement disponible pour les abonnés de Médias24. Ils peuvent offrir un article par semaine à des non-abonnés.Vous possédez déjà un abonnement ?
Se connecter
Rédaction Medias24
Le 14 juillet 2023 à 13h00
Modifié 14 juillet 2023 à 16h24