Incident diplomatique au Mozambique: le Japon dénonce un “grave problème de sécurité”
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Le 25 août 2017 à 14h19
Modifié 11 avril 2021 à 2h42Le ministre japonais des Affaires étrangères, Kono Taro, a réitéré la position de son pays de ne pas reconnaître la peuso ''rasd’’, exprimant son vif regret des incidents ayant marqué la séance d’ouverture de la réunion ministérielle de suivi de la TICAD.
Lors d’un entretien vendredi 25 août avec le ministre des Affaires étrangères et de la coopération internationale, Nasser Bourita, le responsable japonais a souligné que la position du Japon de ne pas inviter le polisario aux travaux du processus de la TICAD demeure inchangée.
Il a également fait part de ''sa stupéfaction’’ que ''les autorités du Mozambique aient contourné les procédures d’accès pour faire introduire les membres non invités du "polisario" par une porte dérobée , tout en refusant l'accès à des délégations disposant de badges et dûment accrédités. Même des membres de l'ambassade du Japon ont été brutalisés''.
Selon le responsable japonais, cela représente un "problème grave de sécurité". À ce sujet, le Japon a protesté vigoureusement auprès du pays hôte pour ce comportement inadmissible.
Le ministre japonais des Affaires étrangères a précisé, par ailleurs, que le Japon œuvrera pour régler ce problème organisationnel définitivement.
Il a déclaré, dans ce contexte, que la prochaine réunion ministérielle et le Sommet de la TICAD auront lieu au Japon, et de tels incidents ne se reproduiront plus.
(Avec MAP)
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