La ruée vers l'or noir au Maroc, vue par OBG
Les investisseurs manifestent un intérêt accru pour les réserves d'hydrocarbures offshore du royaume, largement inexplorées, attirés par différents facteurs, notamment les résultats prometteurs des études sismiques, et des conditions d'investissement attractives, note l'Oxford business group, un cabinet d'intelligence économique basé à Londres, dans une analyse récente sur l'intensification de la prospection pétrolière et gazière au Maroc. Grâce au forage de 10 nouveaux puits, prévu en 2013-2014, le Maroc pourrait enregistrer une hausse significative de sa production de pétrole et de gaz à moyen terme, et ainsi réduire ses importations énergétiques et redresser une balance commerciale de plus en plus déficitaire. L'analyse intégrale est disponible ICI.
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Le 7 novembre 2013 à 14h09
Modifié 7 novembre 2013 à 14h09Les investisseurs manifestent un intérêt accru pour les réserves d'hydrocarbures offshore du royaume, largement inexplorées, attirés par différents facteurs, notamment les résultats prometteurs des études sismiques, et des conditions d'investissement attractives, note l'Oxford business group, un cabinet d'intelligence économique basé à Londres, dans une analyse récente sur l'intensification de la prospection pétrolière et gazière au Maroc. Grâce au forage de 10 nouveaux puits, prévu en 2013-2014, le Maroc pourrait enregistrer une hausse significative de sa production de pétrole et de gaz à moyen terme, et ainsi réduire ses importations énergétiques et redresser une balance commerciale de plus en plus déficitaire. L'analyse intégrale est disponible ICI.