Malgré ce redémarrage, «le marché du travail ne s'améliorerait que de façon limitée» pendant ce laps de temps, et «le pouvoir d'achat resterait atone», ont averti l'Insee (France), l'Ifo (Allemagne) et l'Istat (Italie) dans un communiqué commun.

Par conséquent la zone euro ne pourra guère compter sur la demande intérieure, plombée de surcroît par la consolidation budgétaire menée dans de nombreux pays, ainsi que par des difficultés d'accès au crédit, et devra se reposer sur «l'accélération attendue de la demande des principaux pays développés (Etats-Unis, Royaume-Uni et Japon)», ont-ils indiqué.

(Par AFP)