Le projet a été mené par l'Institut britannique pour la recherche sur les politiques publiques (IPPR), basé à Londres, en collaboration avec le Conseil de la communauté marocaine à l'étranger (CCME) et plusieurs institutions dont le Centre de recherche sur la migration de Sussex, Eaves Housing for Women du Royaume Uni et la plateforme internationale pour la coopération sur les migrants sans papiers (PICUM) de Belgique, indique un communiqué du CCME.

L'étude sur «le retour des migrants irréguliers au Maroc» examine la stratégie des pays d'origine et de destination pour faire face au problème de l'immigration irrégulière en vue de faciliter le retour et la réintégration efficace des migrants dans leur pays d'origine.

Quant à l'étude sur «les migrants subsahariens en situation irrégulière au Maroc», elle a pour objectif de faire avancer le débat et de dépasser la question de savoir si le Maroc est encore un pays de transit', ajoute le communiqué.

«Beyond irregularity», qui a débuté en mars 2011, a permis de cerner les problématiques principales et les priorités des parties prenantes dans la question de la migration irrégulière du Maroc et de mettre en place le premier Consortium pour la recherche sur la migration irrégulière et le plaidoyer.