Maroc-France : discussions pour un processus plus fluide d’octroi des visas Schengen
Le président de la Confédération générale des entreprises, Chakib Alj, et le ministre délégué français chargé du Commerce extérieur et de l’attractivité, Franck Riester, ont soulevé les difficultés rencontrées par les entreprises marocaines, notamment les transporteurs, relatives aux visas Schengen.
Maroc-France : discussions pour un processus plus fluide d’octroi des visas Schengen
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Rédaction Medias24
Le 23 novembre 2021 à 9h53
Modifié 23 novembre 2021 à 12h08Le président de la Confédération générale des entreprises, Chakib Alj, et le ministre délégué français chargé du Commerce extérieur et de l’attractivité, Franck Riester, ont soulevé les difficultés rencontrées par les entreprises marocaines, notamment les transporteurs, relatives aux visas Schengen.
Chakib Alj a reçu, lundi 22 novembre, Franck Riester, en présence de Hélène Le Gal, ambassadrice de France au Maroc et d’opérateurs économiques des deux pays.
À cette occasion, le président de la Confédération générale des entreprises (CGEM) a soulevé certaines difficultés rencontrées par les entreprises marocaines, notamment les transporteurs, relatives aux visas Schengen, indique la CGEM dans un communiqué. En effet, depuis le début de l’année, les procédures d’octroi de visa par la France connaissent un durcissement, ce qui a un impact négatif sur le commerce et sur l’économie en général.
Le 28 septembre dernier, le porte-parole du gouvernement français Gabriel Attal avait annoncé la décision de durcissement des conditions d’obtention des visas à l’égard des ressortissants du Maroc, de l’Algérie et de la Tunisie, qui "refusent" de délivrer les laisser-passer consulaires nécessaires au retour des immigrés refoulés de France.
Les deux responsables français ont exprimé leur compréhension de la situation et se sont engagés à analyser cette situation d’un point de vue économique, afin de trouver des solutions adéquates, dans le respect des procédures administratives et sanitaires, relève la CGEM dans son communiqué.
Pour sa part, la CGEM s’est dite "disposée à accompagner et à encadrer la démarche qui sera adoptée, afin de garantir la fluidité des processus et la conformité des dossiers".
Par ailleurs, le président de la CGEM s’est félicité de la "qualité de la coopération économique et commerciale entre les deux pays, et a affirmé la volonté du secteur privé marocain d’aller encore plus loin dans ce partenariat, en œuvrant pour l’instauration, de part et d’autre, d’un climat des affaires sain et favorable à l’investissement".
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