Viol conjugal à Tanger : l’affaire fait “pschitt” en appel
Ce qui fut, faussement, présenté comme une première finit par une confirmation du statu quo judiciaire sur la question du viol conjugal.
Viol conjugal à Tanger : l’affaire fait “pschitt” en appel
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Abdelali El Hourri
Le 17 juin 2019 à 18h00
Modifié 11 avril 2021 à 2h42Ce qui fut, faussement, présenté comme une première finit par une confirmation du statu quo judiciaire sur la question du viol conjugal.
Présentée comme une première dans l’histoire judiciaire du Maroc, la « fausse » affaire du viol conjugal à Tanger connait un épilogue des plus usuels.
Condamné en première instance à 2 ans de prison ferme pour coups et blessures sur sa femme – et non pour viol comme annoncé par les...
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