“Best-seller” de Réda Dalil en lice pour le prix de la littérature arabe (francophone) à Paris
Notre éminent confrère, le journaliste et écrivain Réda Dalil fait partie des sept nominés dont l’ouvrage devra convaincre le jury de la 4e édition de la littérature arabe.
“Best-seller” de Réda Dalil en lice pour le prix de la littérature arabe (francophone) à Paris
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Samir El Ouardighi
Le 17 juin 2016 à 12h30
Modifié 17 juin 2016 à 12h30Notre éminent confrère, le journaliste et écrivain Réda Dalil fait partie des sept nominés dont l’ouvrage devra convaincre le jury de la 4e édition de la littérature arabe.
Le gagnant recevra un prix de 10.000 euros lors d’une cérémonie qui aura lieu le 12 octobre, à l’Institut du monde arabe, à Paris.
Organisé chaque année, par la Fondation Jean-Luc Lagardère et l’Institut du monde arabe, ce prix récompense un écrivain originaire d’un pays de la Ligue arabe, auteur d’un roman, recueil de nouvelles ou de poèmes écrit en français ou traduit de l’arabe vers le français.
L’ancien directeur de la publication de l’hebdomadaire "Le Temps" et actuel rédacteur en chef du mensuel "Economie & Entreprises" est l’unique Marocain nominé à ce 4e prix de la littérature arabe.
Son deuxième ouvrage intitulé "Best-Seller" qui a été retenu par le comité de lecture, sera soumis le 5 septembre prochain à l’appréciation et aux délibérations d’un jury présidé par Pierre Leroy, cogérant du groupe Lagardère qui est le 3e éditeur mondial de livres grand public.
Edité aux éditions le Fennec en février 2016, ce roman donne foi dans la nouvelle génération d’écrivains marocains et confirme le talent indéniable d’un romancier sachant mieux que quiconque croquer des réalités dérangeantes.
Truculent, ce livre consacré au cauchemar de la page blanche vient après "Le job", qui contait le quotidien d’un jeune Marocain confronté aux affres du chômage (prix littéraire de la Mamounia en 2014).
Nous souhaitons bonne chance au livre de notre confrère qui devra faire la différence avec "Des pierres dans ma poche", (Kaouther Adimi au Seuil) ; "Le tambour des larmes", (Beyrouk chez Elyzad); "Dispersés", (Inaam Kachachi, Gallimard) ; "Villa des femmes", (Charif Majdalani, Seuil) ; "À cœur ouvert", (Abdo Wazen, Actes Sud), "Le corps de ma mère", (Fawzia Zouari, Joëlle Losfeld).
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