Transiger avec le violeur de son enfant, une pratique courante et alarmante
"Une mauvaise transaction vaut mieux qu'un bon procès". Rapporté à des affaires d'agression sexuelle sur des mineurs, cet adage sonne comme une aberration. Pourtant, certains parents n'hésitent pas à l'utiliser... contre leurs propres enfants.
Transiger avec le violeur de son enfant, une pratique courante et alarmante
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Abdelali El Hourri
Le 1 octobre 2020 à 18h22
Modifié 10 avril 2021 à 22h55"Une mauvaise transaction vaut mieux qu'un bon procès". Rapporté à des affaires d'agression sexuelle sur des mineurs, cet adage sonne comme une aberration. Pourtant, certains parents n'hésitent pas à l'utiliser... contre leurs propres enfants.
Des parents qui transigent sur l'abus sexuel subi par leur enfant. Des transactions moyennant mariage, ou « réparation » financière. Dans la sphère judiciaire ou associative, le sujet émeut à peine, tant ces cas sont fréquents.
En l’absence de chiffres officiels, pas moyen de quantifier le phénomène. « Mais il existe. Il est...
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