Frictions entre le ministère public et le ministre de la Justice
Un ministre qui écrit aux présidents des cours d’appel et aux procureurs généraux. Un chef du parquet qui lui répond par circulaire interposée, adressée aux seconds. L’indépendance du parquet, entrée en vigueur le 27 octobre 2017, connaît ses premières escarmouches. Chacun veut marquer son territoire.
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A. E. H. & A.S.
Le 7 janvier 2018 à 17h25
Modifié 11 avril 2021 à 2h44Un ministre qui écrit aux présidents des cours d’appel et aux procureurs généraux. Un chef du parquet qui lui répond par circulaire interposée, adressée aux seconds. L’indépendance du parquet, entrée en vigueur le 27 octobre 2017, connaît ses premières escarmouches. Chacun veut marquer son territoire.
Comme toujours, les textes sont importants, mais pas suffisants. Surtout que les textes réglementaires n’ont pas tous été publiés.
Dans une interview au journal digital Adare, le président du ministère public, Mohamed Abdennabaoui, dément toute polémique ou friction avec le ministère de la Justice. En creux, il...
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