Logement social. “Al Omrane n’intervient que là où le privé est absent”
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Le 4 juillet 2017 à 13h29
Modifié 11 avril 2021 à 2h42La critique formulée par les promoteurs immobiliers privés à l’égard d’Al Omrane ne date pas d’aujourd’hui. A chaque fois que l’occasion se présente, ils accusent le holding de pratiquer une concurrence déloyale, étant à la fois aménageur développeur, lotisseur en charge du recasement des bidonvillois, du logement non réglementaire et pour classe moyenne, celui à 140.000DH, et même des villas,… et cela tout en bénéficiant d’importants privilèges pour l’accès à la réserve foncière.
D’une manière indirecte, "cette concurrence déloyale est également exercée par Al Omrane en distribuant des lots de terrains dans le cadre du recasement des bidonvillois, faisant échapper par conséquent une partie de la demande en logements sociaux - 250.000DH - des mains du privé", selon la profession.
"Dans le logement social, notre groupe n’est pas présent dans les grandes villes, hormis Fès et Agadir. Nous sommes par contre présents au niveau de 13 villes moyennes et de 33 petites villes, là ou le secteur privé est quasi-absent", s’en est défendu Badre Kanouni, président du directoire d’Al Omrane, lors de la présentation des indicateurs du groupe, lundi 3 juillet.
Dans le segment social, à fin 2016, les mises en chantier d’Al Omrane ont atteint près de 93.000 unités dont 68.000 avec le privé.
Selon les prévisions communiquées par le groupe, ce dernier compte sur 6.000 mises en chantier courant 2017 dont plus des 2/3 en partenariats public privé.
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