Trois nouveautés majeures pour l’Université internationale de Casablanca
L’Université internationale de Casablanca troquera, dès la rentrée, ses locaux du complexe Zénith contre le nouveau campus de Bouskoura, dont l’ouverture est prévue pour fin septembre. De plus, elle lance de nouvelles filières et augmente le nombre de bourses.
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Bilal Mousjid
Le 8 août 2014 à 14h11
Modifié 8 août 2014 à 14h11L’Université internationale de Casablanca troquera, dès la rentrée, ses locaux du complexe Zénith contre le nouveau campus de Bouskoura, dont l’ouverture est prévue pour fin septembre. De plus, elle lance de nouvelles filières et augmente le nombre de bourses.
Erigé sur 10 hectares, le nouvel espace, qui coûté un milliard de DH, peut d’ores et déjà accueillir quelque 3.500 étudiants, en attendant que les deux dernières phases soient construites pour accueillir à terme 10.000 étudiants.
Cette extension s’explique notamment par l’augmentation galopante du nombre de ses étudiants. Laura Kakon, vice-présidente et porte-parole de l’UIC, nous apprend que plusieurs centaines d’inscriptions ont été déjà enregistrées pour la rentrée 2014. "Le nombre d’inscriptions double chaque année depuis la création de l’université en 2010", souligne-t-elle.
De nouvelles filières aux bacheliers viendront ainsi enrichir les quatre pôles de l’université (faculté des Sciences de la Santé, Ecole d’Ingénierie, Business School et Management hôtelier et sportif), comme le génie électrique ou informatique, ou de nouveaux masters en finance internationale ou en droit et fiscalité. Avec un bonus pour la rentrée: "L'UIC va doubler le nombre de bourses attribuées", annonce son président Haris Hassabis.
Les frais de scolarité annuels varient entre 60.000 DH et 71.000 DH selon les filières. Hors de prix, pourrait-on dire, mais pour Laura Kakon, il s’agit pour parents et étudiants d’un investissement plutôt sûr, car le taux d’employabilité est de 80 % toutes filières confondues. "Vu la qualité de la formation, la plupart des diplômés de l’UIC trouvent sans difficulté un travail en adéquation avec leur formation. Pour la filière du management hôtelier, par exemple, le taux d’employabilité est de 100 %."
C’est que depuis sa création, l’université fait de la qualité son cheval de bataille, selon Laura Kakon. Fondée en 2010 par le réseau international Laureate (60 %) et la Somed (40%), un fonds majoritairement émirati, l’UIC a acquis le statut d’université privée en 2011. S’ensuit le lancement de plusieurs nouvelles branche comme celle créée en 2013 - Commerce international, adossée à l’ESCE Paris.
"D’autres branches seront lancées prochainement", nous confie la vice-présidente marketing. Le campus, lui, s’élargira à mesure qu’augmentera l’effectif. "La deuxième phase nous permettra d’accueillir 7.000 étudiants et la troisième 10.000", explique Laura Kakon. L’aventure ne fait que commencer.
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