Affaire La Gazelle d’Or, dix années de procédure
S’il y a un principe que rappelle l’affaire de La Gazelle d’Or, c’est bien celui de la sécurité que garantit le respect du formalisme juridique. Les relations d’affaires aussi sincères soient-elles ne se substituent pas l’inscription légale des transactions. Ghita Bennis risque de l’apprendre à ses dépens.
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Imane Azmi
Le 18 juin 2014 à 16h18
Modifié 18 juin 2014 à 16h18S’il y a un principe que rappelle l’affaire de La Gazelle d’Or, c’est bien celui de la sécurité que garantit le respect du formalisme juridique. Les relations d’affaires aussi sincères soient-elles ne se substituent pas l’inscription légale des transactions. Ghita Bennis risque de l’apprendre à ses dépens.
La défense des Adham nous livre sa version des faits.
Le compte à rebours a commencé. La propriété de l’établissement hôtelier La Gazelle d’Or est en passe d’être transférée aux héritiers de l’ancien propriétaire saoudien. Cette affaire, même si elle n’a fait l’actu des chroniques judiciaires...
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