D’après le média américain Politico, l’Arabie saoudite a proposé de financer de nouveaux stades en Grèce et en Égypte, si les deux pays acceptaient de faire équipe avec elle pour accueillir le Mondial 2030.

En réaction à cette information, le ministre délégué grec de la Culture et des sports, Lefteris Avgenakis, a temporisé et indiqué que "des contacts étaient en cours".

"L’article de Politico est truffé d’inexactitudes. Des contacts sont en cours entre les deux pays et l’Égypte, mais ils en sont encore à un stade précoce d’exploration des possibilités de candidature", a-t-il rectifié sur Twitter.

Το δημοσίευμα του Politico, περί "εξαγοράς" της Ελλάδας από τη Σαουδική Αραβία για το Μουντιάλ 2030, είναι γεμάτο ανακρίβειες. Μεταξύ των δύο χωρών & της Αιγύπτου διεξάγονται μεν επαφές, αλλά ακόμη βρίσκονται σε πρώιμο στάδιο διερεύνησης δυνατοτήτων για κατάθεση υποψηφιότητας.

— Lefteris Avgenakis (@l_avgenakis) February 8, 2023

Le bruit courait, depuis le transfert de Cristiano Ronaldo vers le club saoudien Al Nasr, que ce dernier allait percevoir 200 millions d’euros pour être "l’ambassadeur" de la candidature conjointe que l’Arabie saoudite envisage de déposer avec la Grèce et l’Égypte en vue d'organiser la Coupe du monde 2030.

Si cette candidature se concrétise, elle sera en concurrence avec celle de l’Argentine, du Chili, du Paraguay et de l’Uruguay, qui ont officialisé leur candidature commune le mardi 7 février, ainsi que celle de l’Espagne, du Portugal et de l’Ukraine, annoncée en octobre dernier.