Le Maroc se retrouve derrière le Chili (3e), la Suède (2e) et le Danemark (1er).

Les pays qui ont fait l’objet de cette évaluation (60 pays, plus l’Union européenne) et représentent ensemble 90% des émissions mondiales de gaz à effet de serre, ont été classés sur la base d’une grille de 14 indicateurs dans les quatre catégories suivantes : les énergies renouvelables, les émissions de gaz à effet de serre, l’utilisation de l’énergie et la politique climatique.

Le position du Maroc s’explique par sa contribution déterminée au niveau national, considérée parmi les plus ambitieuses à l’échelle internationale grâce à son alignement avec la trajectoire d’un réchauffement climatique de moins de 1.5°C, conformément à l’Accord de Paris sur le climat.

Le Royaume est également bien classé en raison des efforts déployés dans le cadre de sa stratégie énergétique pour le développement des énergies renouvelables.

Comme lors des deux années précédentes, le Maroc se classe en bonne place dans trois catégories principales de cet indice de performance climatique : les émissions de GES, la consommation d’énergie et la politique climatique. Malgré cette évolution positive, les experts de l’indice notent que le Maroc manque de volonté pour décentraliser les énergies renouvelables et encourager les citoyens à produire leur propre énergie renouvelable.