Un premier round du dialogue social ce jeudi 24 février
Le chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, a annoncé la tenue d'une première réunion avec les syndicats dans le cadre du dialogue social, ce jeudi 24 février.
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Le 21 février 2022 à 16h31
Modifié 25 février 2022 à 17h05Le chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, a annoncé la tenue d'une première réunion avec les syndicats dans le cadre du dialogue social, ce jeudi 24 février.
Lors de la 6e édition du Forum parlementaire sur la justice sociale, tenue ce lundi 21 février, le chef du gouvernement a indiqué que cette session représente "une réflexion sérieuse et responsable afin de parvenir à une charte nationale du dialogue social, qui définisse les droits et les devoirs des différents acteurs, fixe les règles, les structures et les institutions, et réglemente les modalités de travail entreprises".
"Les défis auxquels le Maroc est confronté ne peuvent être résolus qu’à travers la coopération de tous, avec pour objectif de consolider la paix sociale d’une manière qui garantisse la justice sociale et la dignité humaine", a-t-il souligné.
La CGEM plaide pour un dialogue social efficace et équilibré
Lors du même forum, le président de la Confédération générale des entreprises du Maroc, Chakib Alj, a mis en avant la nécessité d’entamer un dialogue social.
Pour la CGEM, le dialogue social est primordial dans le cadre de la justice sociale et un pilier dans la réalisation d’un développement durable, a-t-il dit.
Chakib Alj a énuméré les conditions suivantes :
- assurer la solidarité sociale pour faire face aux transformations de la société marocaine ;
- pallier les difficultés sociales apparues depuis l’avènement de l’économie numérique et des nouveaux métiers ;
- créer un climat économique idéal avec une transparence dans les relations entre les employeurs et les employés ;
- améliorer les législations sociales, notamment le Code du travail dont la réforme est urgente. Dix-huit ans après leur entrée en vigueur, ces législataions sont désormais dépassées et ne contribuent pas à la création d’emplois pour les jeunes, a-t-il noté.
La CGEM demande ainsi aux responsables de soutenir et de renforcer le travail des acteurs sociaux et économiques, en plus de garantir l’indépendance des politiques sectorielles pour la réalisation d’une parité sociale.
Afin d’atteindre ces objectifs, la Confédération assure vouloir entamer un dialogue social efficace et équilibré. "Ce qui n’a pas été le cas récemment, au vu des derniers accords sociaux", regrette Chakib Alj.
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Modifié 25 février 2022 à 17h05