Dans un communiqué, publié dimanche 14 mars, le groupe évoque des "difficultés financières" au long des trois dernières années, depuis l'arrestation de Taoufiq Bouachrine pour "traite d’êtres humains, attentat à la pudeur avec violence et viol", entre autres.

Le communiqué souligne "un harcèlement continu, empêchant les publicités sur les pages du journal, le refus des institutions publiques de s'acquitter des redevances, le refus du soutien public contre les effets de la pandémie, ainsi que la décision du gouvernement d'arrêter l'impression et la distribution du journal".