La seconde audience du procès des douze accusés dans l’affaire DTI (détournement de communications téléphoniques internationales) qui se déroule devant la chambre correctionnelle au TPI de Aïn Sebaâ à Casablanca a été courte, une trentaine de minutes au maximum.

Dans une salle saturée par la chaleur estivale et la nombreuse assistance, le procès s’est ouvert dans un grand tohu bohu. Des avocats de la défense ont déploré les conditions dans lesquelles se tient le procès. Une demande de liberté provisoire a une nouvelle fois été refusée. Avant l’ajournement au 1^er septembre.