A l’instar des éditions précédentes, des jeunes de bonne volonté donneront de leur temps au profit des associations caritatives, mais certainement pas sans ambiance festive.

Décorer des murs, peindre des portes, embellir les salles de cours, planter des arbres, ce sont quelques-unes des actions qui seront menées par un vivier de bénévoles, avec Rachid El Ouali comme parrain de l’opération.

Dir Iddik couvre désormais les 4 coins du royaume

Dir  Iddik  revient  à  Casablanca, l’Oriental, Tétouan et Meknès pour se diriger ensuite et pour la 1^ère fois vers Safi et Agadir. 

Dans un souci de canaliser la forte demande de participation des bénévoles et d’élargir le nombre d’associations bénéficiaires, cette couverture régionale élargie est marquée par une nouvelle formule qui s’adapte aux besoins de chaque région. Cela concerne les  principes  de  sélection  des associations, de préférence labellisées, le mode de recrutement des  bénévoles ainsi que les  outils de  sensibilisation.

L’appel à bénévolat passe d’abord par le web : déjà 24.700 inscrits

Pour cette 3^ème édition, le web reste moyen incontournable de sensibilisation. D’abord comme étant l’outil d’inscription à l’opération à travers le site www.diriddik.ma, mais également l’outil de recrutement par excellence. A ce jour, le nombre des volontaires inscrits avoisine les 24.700.

De surcroît, une animation du site se fait en continu à travers les portraits de bénévoles actifs dans les associations.

Par ailleurs, dans l’objectif de booster le recrutement, de gagner en proximité et de crédibiliser l’opération en région, une campagne d’affichage 4x3 sera lancée avant l’arrivée de la caravane dans les villes.

Ainsi, une campagne classique de recrutement sera déployée sur les carrefours d’audience et les sites populaires de la ville en question.

Un engagement associatif des jeunes à saluer

Dir Iddik encourage la prise de responsabilité des jeunes par leur don de leur temps en faveur des associations. L’année dernière, ils étaient 6.000 jeunes, contre 3.000 une année auparavant, à se rassembler autour de cette initiative, devenue un rituel annuel. Tous dans une logique citoyenne et solidaire.

Frédéric Debord, directeur général d’Inwi, se déclare surpris par «l’ampleur de la mobilisation à travers toutes les régions visitées ». Pas étonnant : en 2 ans, l’opération a totalisé 30.000 heures de travail cumulées en faveur 48 associations et plus de 4.000 bénéficiaires.