Santé : L'antiacnéique Diane-35 de nouveau autorisé au Maroc
Santé : L'antiacnéique Diane-35 de nouveau autorisé au Maroc
Partager :
-
Pour ajouter l'article à vos favorisS'inscrire gratuitement
identifiez-vousVous possédez déjà un compte ?
Se connecterL'article a été ajouté à vos favoris -
Pour accéder à vos favorisS'inscrire gratuitement
identifiez-vousVous possédez déjà un compte ?
Se connecter
admin
Le 19 septembre 2013 à 12h30
Modifié 19 septembre 2013 à 12h30Bayer HealthCare Maroc confirme que le Ministère de la Santé a décidé de maintenir la spécialité Diane-35 sur le marché marocain après sa suspension depuis le 5 février 2013.
« Les études approfondies de réévaluation menées par de la Commission Nationale de Pharmacovigilance ont démontré que le rapport bénéfice/risque de la spécialité Diane-35 demeure favorable. Bayer HealthCare Maroc se félicite de cette décision et s’engage à poursuivre ses efforts en concert avec les autorités sanitaires pour veiller au bon usage de son médicament au Maroc,» affirme à cette occasion Jacques-Henri Charpentier, Directeur Général de Bayer HealthCare Maroc.
Le communiqué ajoute que le Ministère de la Santé souligne que Diane-35 ne peut être utilisé que dans le traitement de l’acné modérée à sévère liée à la sensibilité aux hormones mâles (androgènes) et/ou hirsutime chez les femmes en âge de procréer. En outre, ce médicament peut être utilisé dans le traitement de l’acné uniquement lorsque les médicaments alternatifs ont échoué.
Le ministère de la Santé ne fait que suivre, comme il le fait toujours, les décisions prises en Europe. Sa décision était donc attendue.
La Commission européenne vient en effet de décider la remise sur le marché français de ce médicament et de ses génériques.
Diane -35 est également prescrit ou utilisé comme pilule contraceptive, au Maroc et en Europe.
Il avait été retiré du marché français en mai 2013 «sur décision de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), à cause des risques de thrombose et d’embolie pulmonaire qu’il pouvait comporter pour les patientes, et interdit à la vente».