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Ce matin au Maroc


Les affaires de harcèlement sexuel à l’université à Settat et Oujda relèvent du code pénal. Et méritent les sanctions judiciaires et administratives. Mais il n’y a pas que cela.
Elles ne sont que l’arbre qui cache la forêt. Il y a eu corruption, chantage, extorsion, et violation du système d’évaluation et de notation. Il n’y a pas eu que le sexe. Des étudiants ont corrompu, ou ont été rackettés. Des intermédiaires ont touché de l’argent pour faire changer les notes. C’est tout le système d’évaluation qui est en cause ; un système censé refléter le mérite de chacun. Toute la gouvernance de ce système doit être auditée et changée.
La situation est grave. Elle nécessite un audit des modes d’évaluation dans l’enseignement. Donner une note contre un avantage, quel qu’il soit, c’est comme donner une fausse ordonnance médicale pour un médecin. Un faux témoignage au tribunal. De fausses informations dans un journal et j’en passe. Voici des questions qui ne doivent pas être mises sous le tapis.
R. B.


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