Arguments juridique et religieux pour dépénaliser la rupture publique du jeûne
Inadapté pour un Maroc moderne et engagé dans la défense des droits humains, l’article 222, incriminant la rupture publique du jeûne pour les personnes “notoirement connues pour leur appartenance à la religion musulmane”, doit être supprimé. C’est la position que prônent les militants des droits humains ainsi que des hommes de foi, que Médias24 partage. Voici ces arguments.
Arguments juridique et religieux pour dépénaliser la rupture publique du jeûne
Partager :
-
Pour ajouter l'article à vos favorisS'inscrire gratuitement
identifiez-vousVous possédez déjà un compte ?
Se connecterL'article a été ajouté à vos favoris -
Pour accéder à vos favorisS'inscrire gratuitement
identifiez-vousVous possédez déjà un compte ?
Se connecter
Sara Ibriz
Le 3 mai 2022 à 11h49
Modifié 3 mai 2022 à 23h22Inadapté pour un Maroc moderne et engagé dans la défense des droits humains, l’article 222, incriminant la rupture publique du jeûne pour les personnes “notoirement connues pour leur appartenance à la religion musulmane”, doit être supprimé. C’est la position que prônent les militants des droits humains ainsi que des hommes de foi, que Médias24 partage. Voici ces arguments.
Joint par Médias24, Aziz Rhali, président de l’Association marocaine des droits de l’Homme (AMDH), estime que l’article 222 du Code pénal n’a plus sa place dans l’arsenal juridique marocain. Cet article dispose que “celui qui, notoirement connu pour son appartenance à la religion musulmane, rompt ostensiblement le jeûne dans un...
La lecture de ce contenu est réservée aux abonnés
Abonnez-vous dès maintenant
- S’informer en avant-première et accéder à l’intégralité des contenus PREMIUM
- Accédez à nos enquêtes, analyses, portraits, chroniques…
- Soutenez un journalisme crédible, fiable et indépendant